Dernère publication
Présent à la visite d’État du Président de la République Alassane Ouattara (du 27 au 30 novembre 2019) dans la région du Hambol, , Blé Guirao, président du centre de recherche des œuvres universitaires (Crou-A1) de l’université s’est confié à l’IA au terme du dernier meeting du chef de l’État
Depuis le temps du Président Félix Houphouët-Boigny, les visites d’État ont toujours été des occasions de remobilisation des
populations, mais aussi de développement. Cela donne l’occasion aux populations de voir et toucher celui qui dirige le pays. Ce sont aussi des grands travaux qui sont faits à cette occasion. Ce sont des éléments d’espoir. Le Chef de l’État vient ainsi d’honorer un engagement vis-à-vis de la région du Hambol, pour dire aux populations de cette région qu’elles ne peuvent pas être oubliées. C’est la région du premier chef d’état-major du Président Houphouët-Boigny, à savoir, le Général Thomas D’Aquin. C’est avec beaucoup d’émotions que le Chef de l’État est dans le Hambol pour ne pas qu’il reste en marge de l’émergence. En ce qui concerne la proposition du Chef de l’État au sujet de la caution pour la présidentielle et le nombre réduit de candidats, j’ai entendu beaucoup d’interprétations. Mais, les gens ne se sont jamais demandé pourquoi la plus grande démocratie du monde, les États-Unis, il n’y a que deux candidats. Une présidentielle, c’est quelque chose de sérieux.
On y va pour conduire tout un peuple à des lendemains meilleurs. Ce n’est pas de la plaisanterie. Ce n’est pas à une élection présidentielle qu’on vient pour se faire connaitre. Nous devons apprendre à être sérieux en Côte d’Ivoire, surtout, en tout ce qui touche notre élection présidentielle. Depuis que le Chef de l’État a fait ses propositions, il y a des commentaires qui disent qu’il veut écarter des gens. C’est faux. Il y a 244 partis politiques en Côte d’Ivoire. C’est trop ! Des partis de familles. Le père est président, son épouse est présidente des femmes et son fils, président des jeunes. Des partis qui ne font rien et vivent des subventions de l’État. La Côte d’Ivoire est au travail. On n’est plus dans les bavardages.
JHK envoyé spécial