Dernère publication
Le général de corps d’armée Alexandre Apalo Touré a ouvert, le lundi 3 juin 2024 à l’École de gendarmerie d’Abidjan, un séminaire consacré à la revue et à l’opérationnalisation des axes d’effort pour l’année 2024, au regard des actions menées par la gendarmerie nationale en 2023.
Comment la gendarmerie nationale peut-elle être efficace sur le territoire national, dans l’exercice de ses missions régaliennes ? Des réponses seront données à cette interrogation à l’issue du séminaire qui prend fin le vendredi 7 juin prochain.
À l’ouverture des travaux, le général de corps d’armée Alexandre Apalo Touré, commandant supérieur de la gendarmerie nationale a expliqué les raisons de ce séminaire : « Merci au Président de la République, chef suprême des Armées, qui ne ménage aucun effort pour conduire la gendarmerie et les forces de défense et de sécurité vers la bonne direction, dans leurs actions d’ensemble. En tant que chef suprême des Armées, il met à notre disposition tous les moyens adéquats pour que nous accomplissions correctement notre mission ». À l’endroit de ses hommes, le général Apalo a prôné le professionnalisme pour cadrer avec leur serment : « Quand vous fonctionnez mal, cela salit la réputation de la gendarmerie nationale, qui est un corps d’élite (…) Mais quand vous posez des actes positifs, cela rejaillit de façon favorable sur notre Institution. La plupart d’entre vous qui sont des exemples de bravoure, de loyauté méritent d’être félicités et je vous félicite ».
Le regard du DG de l’ENA, le chef de canton de Niablé et du colonel-major Konan Lazare
Le premier panel de ce séminaire a porté sur les rapports entre la gendarmerie et les populations. Le directeur général de l’École nationale d’administration (ENA), Narcisse Thomas Sépy-Yessoh, le chef de canton de Niablé, Nanan Kouakou Kouaho Le Patient III et le colonel-major à la retraite Lazare ont partagé leurs expériences. Ils ont, à l’unanimité, souhaité le renforcement du maillage territorial de la gendarmerie nationale, pour le bonheur des populations, surtout celles de l’intérieur du pays.
Olivier Dion