Harouna Douamba, président de l’ONG ANA prévient : “Amadou Gon Coulibaly est l’homme de la situation”

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La prochaine présidentielle en Côte d’Ivoire c’est en octobre  2020, soit dans trois ans. Mais déjà le président de l’ONG internationale Aimons Notre Afrique (ANA)  Harouna Douamba estime que le premier ministre Amadou Gon Coulibaly est l’homme de la situation. Il l’a fait savoir au cours d’une conférence le lundi 21 aout au siège de l’organisation.
Harouna Douamba  a souhaité que l’on soit regardant sur le travail abattu par le Gouvernement du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly. Qui de son point de vue, fait un travail appréciable. Pour lui, à  57 ans, AGC (Amadou Gon Coulibaly)  a l’entière confiance du Président de la République  . Technicien,  Amadou Gon Coulibaly sait aussi être un animal politique à en croire Harouna Douamba qui verrait en lui, le sauveur du navire ivoire. «Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly est un homme qui jouit d’une légitimité populaire. Il a été de tous les combats au RDR. Il a le bon profil intellectuel et le meilleur curriculum vitae politique pour succéder à un aussi grand Président, que le Président Alassane Ouattara. Ne succède pas à un monstre du travail à un poste d’une grandissime importance, qui veut, mais qui peut. Amadou Gon Coulibaly est donc l’homme de la situation. Pour nous, et pour la Côte d’Ivoire, il ferait assurément un très bon Président», a indiqué Douamba Harouna. Mieux, pour lui, la situation actuelle qu’est celle de la Côte d’Ivoire, est assez sensible. «Il faut un homme du sérail pour remettre notre pays sur les rails. Déjà, il réussit avec brio et maestria, à exercer son poste de Premier ministre. Si ce poste est l’antichambre de la Présidence, il n’y a pas de raison qu’il échoue en tant que Président de la République», a averti le président de l’ONG ANA. Homme de conviction, apôtre de la paix, Douamba Harouna, à travers son ONG, a sauvé plusieurs milliers de vies humaines à travers l’Afrique tout entière, grâce à ses interventions crues et interpellatives. Pour lui, le problème en Afrique, c’est qu’on ne fait pas de prévention. «On attend qu’il y ait le feu aux poudres pour intervenir. Or, nous à l’ONG ANA, nous avons une longueur d’avance sur les autres. C’est pourquoi, je demande au  Premier ministre de mettre l’accent sur le chantier de la réconciliation, seul bémol de son action gouvernementale. Son combat aujourd’hui doit être de réussir à réconcilier les Ivoiriens entre eux, en dépit de tout, gage d’une sortie honorable pour lui. Toute chose qui ne lui serait pas impossible», fit-il savoir. Avant de demander aux Ivoiriens de regarder à l’avenir du pays en ne confiant pas son sort  aux politiciens carriéristes et opportunistes mais aussi et surtout, à dépassionner le débat sur l’élection présidentielle de 2020.

T.A.B avec M.S

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