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Suite à la décision de la Chambre d’appel de la Cour pénale internationale (Cpi) de modifier les conditions de liberté imposées à l’ex président ivoirien, Laurent Gbagbo et à Charles Blé Goudé, le Secrétaire général Fpi pro Gbagbo, Assoa Adou a animé un point de presse, vendredi 29 mai 2020, au siège du parti sis à la Riviera 3, Abidjan-Cocody.
Après avoir salué cette décision qui, pour lui, marque un tournant dans la lutte pour la réconciliation nationale, Assoa Adou a appelé le pouvoir en place à saisir l’occasion pour établir les conditions d’un dialogue républicain en faveur de la paix et la cohésion nationale. « Le Fpi lance enfin un appel solennel au Président Alassane Ouattara, au gouvernement et au Rhdp unifié afin qu’ils saisissent cette opportunité historique pour créer les conditions d’un véritable dialogue républicain en vue de la paix et de la cohésion nationale. Pour le Fpi, l’heure de la réconciliation a sonné. La Côte a besoin de paix pour son développement. Le signal que vient de donner la Cpi est sans conteste une opportunité que le pouvoir devrait saisir pour rassembler effectivement toutes les filles et tous les fils de ce pays autour de la mère patrie », a fait savoir Assoa Adou. Il a également réitéré l’engagement du Front populaire ivoirien avec à sa tête le président Laurent Gbagbo, a-t-il dit, d’oeuvrer pour l’instauration d’une paix durable en Côte d’Ivoire avec tous les acteurs de la vie sociopolitique. Assoa Adou avait à ses côtés plusieurs cadres du Fpi pro-Gbagbo. Notamment Laurent Akoun, Hubert Oulaï, Marie Odette Lorougnon et Georges Armand Ouégnin, président de la plateforme Ensemble pour la démocratie et la souveraineté (Eds). Plateforme à laquelle appartient le Fpi tendance Laurent Gbagbo.
TAB avec IB