Fuite de la noix de cajou au Ghana:Adama Coulibaly, DG du Conseil coton anacarde, fonde tous les espoirs sur Adjoumani

3039
Adama Coulibaly, DG du Conseil coton anacarde

Dernère publication

Le samedi 1er Février 2020 dans les locaux de la préfecture de Bondoukou a eu lieu la dernière journée de la tournée de sensibilisation de haut niveau des acteurs de la filière anacarde contre la fuite de la noix de cajou dans les pays limitrophes

Adama Coulibaly, directeur général du conseil coton et anacarde a dit croire que la lutte contre l’hémoragie de la noix de cajou en direction des pays limitrophes a tardé à trouver une solution durable en raison d’un manque de volonté. À l’en croire, la nomination du ministre Adjoumani est un signe d’espoir.
“Lorsque Monsieur le ministre (Kobenan Kouassi Adjoumani Ndlr)a été nommé , je peux vous dire que l’une des personnes les plus heureuses, c’était moi en ma qualité de directeur général du conseil du coton et de l’Anacarde. Tout simplement parce que le problème de la fuite des produits de l’Anacarde par les frontières de cette région sont connus de tous. Je pense qu’après tous les discours que nous avons entendus, il n’y a plus rien à dire. Mais monsieur le ministre, je dois dire devant vous que je suis très fiers et je suis très content qu’il a été nommé à la tête de ce département parce que c’est le leader naturel de cette region. J’étais très content parce que le problème est connu; il reste que la personne qui va mener le combat pour qu’il aboutisse n’était pas encore là. Ce n’est pas la première fois que nous nous retrouvons dans cette salle, mais c’est bien la première fois que mon ministre vient à la tête de la délégation pour parler du phénomène. Alors je voudrais au nom de tous les acteurs saluer le ministre avec beaucoup de reconnaissance. Je le remercie pour son engagement personnel, professionnel, politique. Il est dans tous les combats. Et je pense que chaque combat qu’il fait, il le gagne. Je pense que ce combat qu’il a entrepris, il va le gagner”, a il déclaré

EF, envoyé spécial

Commentaire

PARTAGER