Lancement de L’initiative “Ma commune, Mon combat” – Les conseils de Danho Paulin aux jeunes

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Danho Paulin et Gaoussou Diabaté s’engagent à mettre en œuvre l’initiative ‘’ Ma commune , mon combat ‘’

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Le président de l’Union des villes et communes de Côte d’Ivoire (Uvicoci), Claude Danho Paulin, a donné le coup d’envoi de l’initiative “Ma commune, Mon combat” le samedi 8 juin 2024 à l’auditorium de la Cnps à Abidjan- Plateau en présence de Gaoussou Diabaté, président de la Fédération nationale des unions de jeunesse de Côte d’Ivoire, initiateur de ce projet.

Claude Danho Paulin a insisté sur l’importance de leur rôle en tant que moteurs de cette initiative. Il les a exhortés à éviter les comportements autoritaires qui pourraient étouffer l’esprit de cette initiative. « Vous devez être chacun porteur de ce projet dans vos localités, mais vous ne devez pas vous comporter comme des super chefs pour tuer cette initiative. Vous êtes des forces de propositions et des rassembleurs », a-t-il déclaré. Il a également souligné la nécessité pour ces jeunes leaders de rester accessibles et de travailler en collaboration avec leurs communautés, plutôt que de se replier sur eux-mêmes

Les précisions de Gaoussou Diabaté

Lors de son intervention , Gaoussou Diabaté a précisé que cette initiative ne se limite pas à un simple slogan. « Elle comprend une série d’activités conçues pour encourager et renforcer la participation des jeunes à la vie communale. Le concept ‘Ma commune, Mon combat’ n’est pas qu’un simple slogan, il se décline en plusieurs activités. Concernant les objectifs spécifiques, il s’agira pour nous de redynamiser les Unions de jeunesse communale », a-t-il affirmé. La cérémonie a été également l’occasion pour le président de la Fenujeci d’égrener les difficultés dont fait face la faîtière notamment en ce qui concerne l’expiration de mandats de 112 unions de jeunesse communales. « Ce constat met en évidence l’importance cruciale de revitaliser ces unions pour permettre une participation active et constructive des jeunes dans le développement local », a-t-il préconisé.

Il convient de souligner que la durée d’exécution du projet est prévue sur une période de huit mois, durant laquelle diverses activités seront organisées pour engager les jeunes dans la vie communale et renforcer les structures dédiées à la jeunesse.

Moustapha Ismaila

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