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La Bourse du travail d’Abidjan-Treichville a été le cadre d’une rencontre le samedi 21 juillet 2018 entre des filles et fils d’Assinie-Mafia pour les municipales du 13 octobre prochain.
La fédération des jeunes cadres, leaders d’opinion d’Assinie-Mafia, des représentants des femmes et des jeunes ont porté leur choix sur la candidature de Hippolyte Ebagnitchie, Directeur général de l’Anare-ci pour les municipales du 13 octobre 2018. Celui-ci leur a répondu : « J’ai toujours avancé dans la discrétion. Aujourd’hui, vous me faites une proposition d’être votre candidat pour les municipales d’Assinie-Mafia. Je vous dis oui car cela est un devoir moral. La simple présence de nos aînés me donne la force. Nous allons assurer cette charge avec l’engagement de tous ». C’est Hervé Anassou, porte-parole de la fédération des jeunes cadres et leaders d’opinion qui a planté le décor : « Ce digne fils d’Assinie-Mafia incarne respect, intelligence et vision de développement de la commune. Ce frère que nous avons choisi pour être notre porte-flambeau s’appelle Hippolyte Ebagnitchie. Nous vous proposons sa candidature, et avec vous, nous lui prions d’accepter cette lourde mais passionnante charge pour l’intérêt de la commune d’Assinie-Mafia ». Et de souligner : « Notre combat est pour préserver les intérêts d’Assinie-Mafia et l’héritage laissé par nos parents. Car, lors du dernier enrôlement pour la liste électorale, de nombreuses populations venues d’ailleurs ont été convoyées alors qu’elles ne résident ni à Assinie-Mafia, n’y sont pas originaires et n’ont pas d’intérêts économiques ou de relations affectives avec Assinie-mafia ». Puis, le porte-parole précise : « Notre lecture de cette action est le danger de voir des personnes sans lien avec Assinie-Mafia élire son conseil municipal. C’est alors que s’est formée cette fédération de jeunes cadres afin de rassembler nos forces, mettre de côté nos égos, les partis politiques et faire fi de nos intérêts personnels pour le bonheur d’Assinie-mafia ».
Assinie-Mafia a été érigé en commune en cette année 2018 en Conseil des ministres.
M. Ouattara
