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L’Ong Ihsane pour le développement et l’éducation “Aide” a offert 3 500 livres islamiques au comité exécutif de l’Association des Élèves et Étudiants Musulmans de Côte d’Ivoire (Aeemci), le mardi 15 avril 2025, à son siège à Abidjan-Adjamé-Paillet.
Le président de l’Ong Ihsane pour le développement et l’éducation “Aide”, Ali Orhan Pehlivan, a remis ces 3 500 ouvrages islamiques au comité exécutif de l’Aeemci. Ces livres seront utilisés pour ouvrir des bibliothèques dans les bases de l’association. À travers cet acte, l’Ong Aide démontre son engagement envers la formation de la jeunesse musulmane sur les valeurs islamiques. « Nous sommes très reconnaissants envers Dieu qui a facilité cet acte. Notre mission est d’éduquer et d’apporter notre contribution à l’évolution des connaissances et des compétences des musulmans. La seule condition, c’est de lire ces livres. Nous sommes convaincus qu’à travers la lecture, les apprenants vont acquérir de grandes connaissances pour mieux pratiquer la religion islamique », a déclaré le président de l’Ong Aide.
Par ailleurs, il a indiqué que cette remise de livres n’est que le début d’une série de dons qui se poursuivra tout au long de l’année 2025. « Nous allons distribuer des livres dans 15 régions de la Côte d’Ivoire cette année. En 2026, nous étendrons cette action de distribution aux autres régions qui n’en bénéficient pas cette année », a affirmé Ali Orhan Pehlivan, soulignant que grâce au partenariat avec l’Aeemci, plusieurs projets sont en cours d’exécution. Le président de l’Aeemci, Youssouf Bamba, s’est réjoui de l’action de son donateur et a expliqué qu’avec ces 3 500 livres, ils sont sur la bonne voie pour ouvrir leurs bibliothèques dans les 31 régions de Côte d’Ivoire. « Nous allons mettre en place des bibliothèques dans les 31 régions, et les secrétaires nationaux viendront s’abreuver de ces ressources afin d’acquérir les compétences nécessaires pour avoir de bonnes réflexions religieuses. Ce que je souhaite surtout, c’est qu’à travers ces bibliothèques, les lecteurs deviennent des auteurs. Quand les lecteurs deviennent des auteurs, cela prouve qu’il y a une bonne éducation », a-t-il conclu.
Olivier Dion avec A. Traoré